Notre journée commence par prendre une décision, et cette décision détermine notre choix de nourriture, d’exercice, de travail, de loisirs, de collaboration avec les autres ou de comportement altruiste. La décision est influencée par la culture, l’âge, le sexe, les expériences de vie et aussi par le régime alimentaire.
En même temps, les gens ont leur propre point individuel, leur personnalité. Les décisions prises par des influences extérieures peuvent provoquer de graves conflits personnels et être destructives.
Manger et boire nous déterminent aussi, au lieu de l’inverse. Ce n’est plus la faim ou la soif qui nous pousse à manger, mais le sentiment de récompense, le stimulus de la récompense. Notre partie émotionnelle du cerveau a un apport sanguin plus important et nous incite à prendre des décisions plus impulsives. En raison des endorphines qui sont libérées, nous éprouvons une agréable sensation de récompense pendant peu de temps. Cela entraîne une dépendance et un système immunitaire activé.
Symptômes associés : peur du changement, comportement compulsif pour manger et/ou boire, inaction, manque de discipline et d’action cohérente dans la vie quotidienne, comportement impulsif ou agressif, comportement addictif à la nourriture, à la boisson ou aux choses matérielles, comportement autodestructeur. Syndromes associés : Alzheimer, artériosclérose, démence, dépression, toxicomanie, maladie chronique.
Afin de retrouver le libre arbitre et de devenir décisif, il est nécessaire de répartir optimalement le flux sanguin dans le cerveau, afin que les zones cérébrales orientées vers les solutions soient alimentées en énergie suffisante dans toutes les situations.
Un meilleur contrôle des zones émotionnelles et, en fin de compte, de meilleures capacités de prise de décision peuvent être obtenus grâce à une nutrition optimale, à un exercice physique suffisant et à un changement de comportement, de sorte que la partie cognitive du cerveau soit mieux alimentée et stimulée plus intensément par des substances messagères et des hormones.
Conseils pour faciliter la prise de décision :
– Les avantages/bénéfices doivent être au moins deux fois supérieurs aux inconvénients/coûts.
– Un conseiller confidentiel / consultant en santé peut souvent vous donner un aperçu de votre schéma de répétition de «mauvais» choix grâce à une vue en hélicoptère.
– Offrez-vous moins souvent des récompenses à court terme.
– Dites adieu aux réponses qui ne fonctionnent pas et recherchez de nouvelles opportunités qui mènent à des solutions aux problèmes connus.
– Prendre conscience de votre propre personnalité.
– Un plus petit nombre de repas favorise clairement la prise de bonnes décisions. Les grandes personnalités ont jeûné avant de prendre de grandes décisions.
– Les aliments tels que les œufs (choline), le poisson (gras EPA, DHA), l’avocat (oméga 3) et les légumes verts (magnésium) peuvent augmenter le flux sanguin dans les parties du cerveau orientées solution et améliorer à la fois la cognition et la mémoire.
Pour lire l’intégralité de l’article, voir le chapitre 12 du livre « Werde wieder mensch » par le Dr Leo Pruimboom.
Avez-vous besoin d’un consultant en santé pour savoir ce qui convient à votre personnalité afin de prendre les bonnes décisions et quels changements de comportement concernant la nutrition, l’exercice, le rythme du sommeil, la gestion du stress vous devez faire pour cela, alors je peux vous aider avec une approche personnalisée.